Il existe une légende qui parle d'une race de chats sacrés. Le roi de Birmanie cachait cette race et offrait à la place la race de chats qu'on connait. Mais le véritable sacré de Birmanie est blanc comme un albinos et a les yeux bleu ou oranges. Il ressemble bien plus aux chats de cette vidéo. Le fait que j'ai choisit des vairons n'indique pas pour autant qu'un chats aux yeux oranges n'est pas sacré.. Pour moi, même un chat de gouttière est sacré ! Je recherche des informations à propos de ces chats. Si vous avez des choses à m'apprendre sur cette légende, n'hésitez pas à partager vos connaissances dans les commentaires. Je serais curieux de savoir si quelqu'un peut m'avoir un petit chaton albinos et vairons dans la région du Lot et Garonne .. Merci !
Le sacre de Birmanie, des origines sacrément légendaires...
Au Chat Sacré de Birmanie est associée une des plus extraordinaires légendes du panthéon félin !
LA LEGENDE DE SINH
Il était une fois
Le temple Lao-Tsun en Birmanie abritait des religieux, dont le Vénérable Mun-Ha, qui vivait dans le jeûne et la contemplation de Tsun-Kiantsé. Mun Ha etait l’effigie d’or aux yeux de saphir, déesse de la réincarnation et elle guidait les âmes dans leur cheminement jusqu’à la purification.
Au côté de Mun-Ha, méditait Sinh, son chat, sacré du temple.
Une nuit, les Thaïs ennemis, vinrent saccager le temple. A leur approche, Mun-Ha mourut en prières. Sinh bondit sur la tête de son maître et implora la déesse du regard. Celle-ci répondit à son appel et accomplit un prodige : le pelage blanc du chat devint d’or, ses yeux furent semblables aux purs saphirs qui ornaient le visage de la déesse et l’impure couleur de la terre se retira de ses pattes pour laisser place au blanc le plus éclatant.
Les yeux de Sinh exhortèrent les religieux à prendre les armes et après un âpre combat, le temple fut sauvé de la profanation.
Sept jours durant, Sinh veilla son maître ; au bout de ce temps il mourut emportant vers Tsun-Kiantsé l’âme parfaite du fidèle Mun-Ha.
Sept jours passèrent encore, les prêtres se réunirent pour choisir celui qui succéderait à Mun-Ha. C’est alors que, venant de tous côté du saint lieu s’avancèrent les chats sacrés du temple, tous ayant subi la même métamorphose que Sinh. D’un pas lent, ils élirent l’un des vénérables, en se dirigeant vers lui, manifestant ainsi la volonté de la déesse.
Depuis ce temps, chaque chat sacré qui meurt emporte avec lui l’âme réincarnée d’un prêtre dans l’éternité. Tous, à l’image de la déesse ont des yeux de saphir et un pelage d’or ; le blanc immaculé de leurs pattes tranche avec leur face, leur queue et leurs membres sombres.
« Malheur à qui nuit à un chat sacré : il subira les tourments voulus par l’âme en peine qu’il a offensée ».
Selon des versions plus réalistes
La race a des origines encore peu connues. Pour certains, au début du XXième siècle, des voyageurs auraient ramené ces chats de Birmanie en France.
Pour d’autres, un couple de chats aurait été dérobé dans le courant des années 1920 dans le fameux temple de Lao Tseu et ramené en France par bateau.
Le mâle serait mort au cours de la traversée mais la femelle, Sita, qui avait été saillie, aurait eu des chatons dont une femelle, "Poupée", qui serait l'ancêtre de cette race en France.
Selon des sources nettement plus crédibles, le Chat Sacré est né d'un mariage entre Siamois et Persan, l'un donnant la couleur, l'autre le poil. Vers 1923-24, le Sacré — qui, à l'époque est nommé tout simplement Birman —, aurait été "travaillé" par des éleveurs du sud de la France.
À cette époque, on rencontrait beaucoup de Siamois gantés. Après union avec des Persans, ils ont donné naissance à des chats à poil mi-long, gantés avec des points. Le Birman serait donc un chat français !
La race est officiellement reconnue en 1926 par la F.I.F.E. En 1950, le Birman devint Chat Sacré de Birmanie pour éviter de le confondre avec le Burmese (qui signifie… Birman, en Anglais).
Le sacre de Birmanie, des origines sacrément légendaires...
Au Chat Sacré de Birmanie est associée une des plus extraordinaires légendes du panthéon félin !
LA LEGENDE DE SINH
Il était une fois
Le temple Lao-Tsun en Birmanie abritait des religieux, dont le Vénérable Mun-Ha, qui vivait dans le jeûne et la contemplation de Tsun-Kiantsé. Mun Ha etait l’effigie d’or aux yeux de saphir, déesse de la réincarnation et elle guidait les âmes dans leur cheminement jusqu’à la purification.
Au côté de Mun-Ha, méditait Sinh, son chat, sacré du temple.
Une nuit, les Thaïs ennemis, vinrent saccager le temple. A leur approche, Mun-Ha mourut en prières. Sinh bondit sur la tête de son maître et implora la déesse du regard. Celle-ci répondit à son appel et accomplit un prodige : le pelage blanc du chat devint d’or, ses yeux furent semblables aux purs saphirs qui ornaient le visage de la déesse et l’impure couleur de la terre se retira de ses pattes pour laisser place au blanc le plus éclatant.
Les yeux de Sinh exhortèrent les religieux à prendre les armes et après un âpre combat, le temple fut sauvé de la profanation.
Sept jours durant, Sinh veilla son maître ; au bout de ce temps il mourut emportant vers Tsun-Kiantsé l’âme parfaite du fidèle Mun-Ha.
Sept jours passèrent encore, les prêtres se réunirent pour choisir celui qui succéderait à Mun-Ha. C’est alors que, venant de tous côté du saint lieu s’avancèrent les chats sacrés du temple, tous ayant subi la même métamorphose que Sinh. D’un pas lent, ils élirent l’un des vénérables, en se dirigeant vers lui, manifestant ainsi la volonté de la déesse.
Depuis ce temps, chaque chat sacré qui meurt emporte avec lui l’âme réincarnée d’un prêtre dans l’éternité. Tous, à l’image de la déesse ont des yeux de saphir et un pelage d’or ; le blanc immaculé de leurs pattes tranche avec leur face, leur queue et leurs membres sombres.
« Malheur à qui nuit à un chat sacré : il subira les tourments voulus par l’âme en peine qu’il a offensée ».
Selon des versions plus réalistes
La race a des origines encore peu connues. Pour certains, au début du XXième siècle, des voyageurs auraient ramené ces chats de Birmanie en France.
Pour d’autres, un couple de chats aurait été dérobé dans le courant des années 1920 dans le fameux temple de Lao Tseu et ramené en France par bateau.
Le mâle serait mort au cours de la traversée mais la femelle, Sita, qui avait été saillie, aurait eu des chatons dont une femelle, "Poupée", qui serait l'ancêtre de cette race en France.
Selon des sources nettement plus crédibles, le Chat Sacré est né d'un mariage entre Siamois et Persan, l'un donnant la couleur, l'autre le poil. Vers 1923-24, le Sacré — qui, à l'époque est nommé tout simplement Birman —, aurait été "travaillé" par des éleveurs du sud de la France.
À cette époque, on rencontrait beaucoup de Siamois gantés. Après union avec des Persans, ils ont donné naissance à des chats à poil mi-long, gantés avec des points. Le Birman serait donc un chat français !
La race est officiellement reconnue en 1926 par la F.I.F.E. En 1950, le Birman devint Chat Sacré de Birmanie pour éviter de le confondre avec le Burmese (qui signifie… Birman, en Anglais).
- Catégories
- Chats de Race Burmese
- Mots-clés
- Application de montage YouTube, chat sacré, chat blanc
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